Questions fréquentes IRM

L’IRM est un examen indolore et sans rayons X. À votre arrivée, vous retirez vos objets métalliques, puis vous êtes installé(e) confortablement sur la table de l’appareil. L’examen dure en général 20 à 30 minutes selon la zone étudiée. L’appareil fait du bruit, mais vous êtes équipé(e) de protections auditives et restez en contact permanent avec le technicien. Après l’examen, vous reprenez vos activités normalement et le compte rendu est transmis à votre médecin.

Oui. En Suisse, l’assurance maladie de base (LAMal) prend en charge l’IRM si elle est prescrite par un médecin. Dans ce cas, les frais sont directement facturés à votre assurance et vous n’avez rien à avancer, sauf la franchise et la quote-part habituelles.

Dans certains cas, l’IRM est contre-indiquée. Les pacemakers, implants cochléaires, certaines prothèses ou éclats métalliques peuvent présenter un risque. Avant l’examen, informez toujours l’équipe médicale : le radiologue vérifiera si une IRM est possible en toute sécurité.

Les images sont disponibles immédiatement après l’examen. Le compte rendu du radiologue est généralement transmis à votre médecin traitant dans un délai de 24 à 48 heures. En cas d’urgence, l’analyse peut être faite plus rapidement.

L’IRM utilise un champ magnétique et des ondes radio pour produire des images très précises des tissus mous (cerveau, muscles, organes).
Le scanner (CT-scan) utilise des rayons X et est plus adapté pour visualiser les os, les poumons ou rechercher une urgence rapide.

L’IRM utilise un champ magnétique et des ondes radio pour produire des images très précises des tissus mous (cerveau, muscles, organes).
Le scanner (CT-scan) utilise des rayons X et est plus adapté pour visualiser les os, les poumons ou rechercher une urgence rapide.

Questions fréquentes Scanner

Le scanner est un examen rapide et indolore qui utilise des rayons X. Vous êtes installé(e) sur une table qui glisse doucement dans l’appareil. Selon l’examen, un produit de contraste peut être injecté. L’acquisition des images dure en moyenne 5 à 15 minutes.

C’est une substance à base d’iode injectée dans une veine pour améliorer la visibilité des organes, vaisseaux et tissus lors du scanner. Elle permet d’obtenir des images plus précises et d’aider le radiologue à poser un diagnostic fiable.

Dans la grande majorité des cas, le produit de contraste est sans risque. Certaines personnes peuvent ressentir une sensation de chaleur ou un goût métallique passager. Les réactions allergiques sont rares et l’équipe médicale est toujours prête à intervenir. Avant l’examen, vous serez interrogé(e) sur vos antécédents d’allergie ou de problème rénal.

Les effets secondaires sont généralement bénins : sensation de chaleur, rougeur passagère ou goût métallique dans la bouche. Dans de rares cas, une réaction allergique peut survenir. Si vous ressentez des démangeaisons, difficultés respiratoires ou malaise après l’examen, il est important d’en informer immédiatement l’équipe médicale.

Une allergie à l’iode peut poser problème, car la plupart des produits de contraste en contiennent. Si vous êtes concerné(e), informez toujours l’équipe médicale avant l’examen. Le radiologue pourra adapter la procédure, utiliser un produit alternatif ou prévoir une prémédication pour sécuriser le scanner.

L’IRM utilise un champ magnétique et des ondes radio pour produire des images très précises des tissus mous (cerveau, muscles, organes).
Le scanner (CT-scan) utilise des rayons X et est plus adapté pour visualiser les os, les poumons ou rechercher une urgence rapide.

Oui. En Suisse, l’assurance maladie de base (LAMal) prend en charge le scanner lorsqu’il est prescrit par un médecin. Les frais sont directement facturés à votre assurance ; seuls la franchise et la quote-part habituelles restent à votre charge.

Les images sont disponibles immédiatement après l’examen. Le compte rendu rédigé par le radiologue est transmis à votre médecin traitant dans un délai moyen de 24 à 48 heures. En cas d’urgence, les résultats peuvent être communiqués plus rapidement.

Questions fréquentes infiltration lombaire

C’est une injection ciblée d’anti-inflammatoire, réalisée au niveau de la colonne lombaire pour soulager une douleur liée à une hernie discale, une sciatique ou une arthrose. L’infiltration est guidée par imagerie (scanner ou radioscopie) afin d’assurer précision et sécurité.

L’infiltration se fait en ambulatoire. Vous êtes allongé(e) sur la table du scanner, la peau est désinfectée puis l’aiguille est guidée avec précision grâce aux images. Le produit anti-inflammatoire est injecté en quelques minutes. Après une courte surveillance, vous pouvez rentrer chez vous.

Non. L’infiltration lombaire se fait en ambulatoire. Après une courte période d’observation (environ 30 minutes), vous pouvez rentrer chez vous le jour même.

Le plus souvent, il s’agit d’un anti-inflammatoire corticoïde, parfois associé à un anesthésique local. Ces médicaments réduisent l’inflammation et soulagent rapidement la douleur au niveau de la colonne lombaire.

Les effets secondaires sont rares et le plus souvent bénins : légère douleur ou rougeur au point d’injection, sensation passagère de chaleur, maux de tête. Plus rarement, une infection, un saignement ou une réaction au produit peuvent survenir. L’équipe médicale surveille toujours le patient pour prévenir ces risques.

Oui. En Suisse, l’assurance maladie obligatoire (LAMal) prend en charge l’infiltration lombaire lorsqu’elle est prescrite par un médecin. Comme pour tout acte médical, la franchise et la quote-part restent à la charge du patient.

  • L’infiltration épidurale consiste à injecter le médicament autour des nerfs de la colonne pour calmer une sciatique ou une hernie discale.

  • L’infiltration facettaire cible directement les petites articulations lombaires (facettes), souvent en cas d’arthrose ou de lombalgies chroniques.

Les deux techniques soulagent la douleur mais ne concernent pas les mêmes causes.

Questions fréquentes mammographie

La mammographie est un examen rapide et indolore dans la majorité des cas. Vous êtes debout, le sein est placé entre deux plaques qui le compressent quelques secondes pour obtenir une image précise. L’examen dure environ 10 à 15 minutes, et les images sont ensuite analysées par un radiologue spécialisé.

En Suisse, le programme national recommande une mammographie de dépistage tous les 2 ans pour les femmes entre 50 et 74 ans. En dehors de cet âge, l’examen peut être prescrit par un médecin si un risque particulier ou des symptômes le justifient.

L’examen est très rapide. Une mammographie complète dure en moyenne 10 à 15 minutes, dont seulement quelques secondes de compression par image.

Si une anomalie est repérée, le radiologue peut recommander des examens complémentaires (échographie, IRM ou biopsie) pour préciser le diagnostic. Dans la majorité des cas, il s’agit de changements bénins. Votre médecin vous accompagnera dans les étapes suivantes si un suivi est nécessaire.

Oui. En Suisse, la mammographie est remboursée par l’assurance de base (LAMal) lorsqu’elle est prescrite par un médecin ou réalisée dans le cadre du programme de dépistage organisé (50–74 ans). Seuls la franchise et la quote-part habituelles restent à votre charge.

Questions fréquentes dacryoscanner

Un dacryoscanner est un examen d’imagerie médicale qui utilise le scanner (CT-scan) pour visualiser les voies lacrymales. Un produit de contraste iodé est instillé dans le canal lacrymal afin de détecter une obstruction, une inflammation ou une malformation pouvant être à l’origine d’un larmoiement chronique.

Après désinfection locale, un petit cathéter souple est placé à l’entrée du canal lacrymal. Un produit de contraste iodé est injecté puis un scanner (CT-scan) rapide est réalisé. L’examen dure en moyenne 10 à 15 minutes et se fait en ambulatoire.

L’examen est généralement bien toléré. Le patient peut ressentir une légère gêne ou picotement lors de l’injection du produit dans le canal lacrymal, mais la procédure n’est pas douloureuse.

Le dacryoscanner est un examen court : l’installation et l’injection prennent quelques minutes, et l’acquisition des images au scanner dure moins de 5 minutes.

Les effets secondaires sont rares. Une irritation passagère, un larmoiement temporaire ou une sensation de picotement peuvent survenir. Les réactions allergiques au produit de contraste iodé sont possibles mais exceptionnelles.

Aucune préparation spécifique n’est nécessaire. Informez simplement l’équipe si vous êtes allergique à l’iode, si vous êtes enceinte ou si vous avez des antécédents médicaux particuliers.

Oui. Le dacryoscanner est remboursé par l’assurance de base (LAMal) lorsqu’il est prescrit par un médecin spécialiste, notamment un ophtalmologue. La franchise et la quote-part habituelles restent à la charge du patient.

Les images sont disponibles immédiatement. Le compte rendu du radiologue est transmis à votre ophtalmologue ou médecin prescripteur, généralement sous 24 à 48 heures.

Questions fréquentes Minéralométrie (DEXA)

La minéralométrie osseuse, aussi appelée DEXA, est un examen d’imagerie qui mesure la densité des os. C’est l’examen de référence pour dépister l’ostéoporose et évaluer le risque de fracture.

Vous êtes allongé(e) sur une table d’examen pendant qu’un bras de détection passe lentement au-dessus de votre corps. L’examen est indolore, dure environ 10 à 15 minutes et n’expose qu’à une très faible dose de rayons X.

Non, l’examen est totalement indolore. Vous restez immobile quelques minutes, sans injection ni préparation particulière.

Le dacryoscanner est un examen court : l’installation et l’injection prennent quelques minutes, et l’acquisition des images au scanner dure moins de 5 minutes.

Aucune préparation spécifique n’est nécessaire. Il est conseillé d’éviter les compléments de calcium dans les 24 heures précédant l’examen. Informez l’équipe si vous êtes enceinte.

Les risques sont minimes. La dose de rayons X utilisée est très faible, bien inférieure à celle d’une radiographie standard. L’examen est donc considéré comme sûr.

Elle est indiquée principalement chez les femmes après la ménopause, les hommes de plus de 65 ans, et chez toute personne présentant des facteurs de risque d’ostéoporose (fracture, corticoïdes prolongés, antécédents familiaux).

Oui, si elle est prescrite par un médecin dans le cadre d’une suspicion ou d’un suivi d’ostéoporose. La franchise et la quote-part habituelles restent à la charge du patient.